J’ai commencé la dernière vignette de Fly into spring :
Mois : novembre 2013
Vache tarine
Une robuste vache de montagne, à la robe brillante et aux yeux de velours :
La broderie fait 125 x 92 points et comporte 33 couleurs DMC. Le modèle est disponible dans la catégorie Montagne.
Portrait de rose VII
Un petit jeu…
Qu’est-ce donc ?
Euh… il n’y a rien à gagner, juste un petit moment de cogitation
La troisième vignette…
est brodée :
Place à la mésange bleue…
Les oiseaux de Jacques
Aujourd’hui je souhaiterais vous montrer les petites merveilles brodées par Jacques L., époux de Catherine et artiste des aiguilles comme elle :
Martin-pêcheur
Jaseur boréal
Mésange bleue
Ces oiseaux sont issus des Oiseaux de mon jardin, déjà brodés avec maestria par momo23 :
Un grand bravo à Jacques et un grand merci à Catherine pour les photos; bises à vous deux…
Musiques
Puis vient le solo du pianiste, et les autres se joignent à son riff circulaire et virtuose.
Sa fatigue envolée, Henry s’écarte du mur auquel il s’était adossé et s’avance au centre de la salle obscure, plus près de cette grande machine à produire des sons. Il se laisse happer. Rares sont les moments où des musiciens atteignent ensemble quelque chose de plus délectable que tout ce qu’ils ont pu connaître en concert ou en répétition, bien au-delà de la simple collaboration ou de la compétence technique, et où leur expression acquiert la légèreté et la grâce de l’amitié ou de l’amour. C’est alors qu’ils nous offrent un aperçu de ce que nous pourrions être, de ce que nous avons de meilleur, de ce monde impossible où l’on donne tout aux autres sans rien perdre de soi-même. Dans le monde réel il existe des programmes détaillés, des projets visionnaires de sociétés paisibles, sans conflit, promettant le bonheur à tous et pour toujours – des mirages au nom desquels les gens sont prêts à tuer te à se faire tuer. Le royaume du Christ sur terre, le paradis des travailleurs, l’État islamique idéal. Mais seule la musique, en de rares occasions, laisse vraiment entrevoir cette communauté de rêve, séduisante illusion qui s’évanouit avec les dernières notes.
Naturellement, personne ne s’entend sur les moments où cela se produit. Henry en a fait l’expérience pour la dernière fois à Wigmore Hall, où une communauté utopique s’est formée le temps d’un octuor de Schubert, tandis que flûtistes et hautboïste, avec de discrets mouvements d’épaules, soufflaient leurs notes vers les instrumentistes à cordes qui les leur renvoyaient adoucies. cela lui est aussi arrivé il y a longtemps, à l’école de Daisy et de Theo où un orchestre discordant, accompagné d’une chorale d’élèves et de professeurs, s’était attaqué à Purcell et avait offert malgré ses couacs un innocent et délicieux chœur d’enfants et d’adultes. Et le voilà de nouveau, ce monde cohérent où tout s’harmonise. Henry se balance doucement dans l’obscurité, les yeux fixés sur la scène, sa main droite étreignant ses clés dans sa poche.
Ian McEwan (né en 1948), Samedi – traduction de France Camus-Pichon
Joshua Marker, La muse Euterpe sur la tombe de Frédéric Chopin
Un travail de longue haleine…
Petite avancée sur le tableau d’Eugène-Henri Cauchois :
J’en ai rarement autant bavé avec une grille 🙂
Maître Goupil
Photographié par ma sœur (interdite de blog en ce moment pour cause de cadeau de Noël en cours), au fond du pré jouxtant sa maison dans l’Ain :
Oh la jolie bête…
Troglodyte mignon
Ma bannière de Lesley Teare avance gentiment…